Le yoga

Efficacité possible


Contribuer au traitement de l'asthme; améliorer la mémoire et les facultés cognitives; contrer les troubles cardiovasculaires.

Efficacité incertaine


Contribuer au traitement de la dépression légère, des toxicomanies et des troubles musculosquelettiques; améliorer la capacité cardiorespiratoire; contrer le stress et l'anxiété; contribuer à prévenir la neuropathie diabétique; soulager les symptômes du syndrome de l'intestin irritable; diminuer l'incidence des crises chez les épileptiques.

Voir la signification des symboles et les critères de classification utilisés.
Présentation

Le yoga est relativement récent dans le paysage occidental, mais il y est fort bien établi : on peut suivre des cours dans des centres de loisir et des cliniques de santé, tant en région que dans les métropoles - des cours qui s'adressent aux enfants, aux personnes âgées, aux gens stressés, aux bien-portants, aux femmes enceintes, aux athlètes...

C'est que le yoga possède des caractéristiques qui conviennent à plusieurs : les cours se font généralement en groupe, dans un contexte sécuritaire et non compétitif; il n'exige pas de compétences particulières; il favorise presque instantanément la détente mentale et musculaire; à moyen terme, il développe la souplesse et aide à régler plusieurs problèmes musculosquelettiques; et une pratique régulière semble permettre de soulager des problèmes de santé sérieux et favoriser une meilleure santé générale.
Une partie d'un tout

Élaboré en Inde au fil de plusieurs millénaires, le yoga (dans son sens large) est une vaste méthode de développement personnel et une science de la pratique spirituelle. Il comprend plusieurs dimensions, dont les principales sont les suivantes.

* La dévotion (bhakti yoga).
* L'action juste (karma yoga).
* La connaissance (jnana yoga).
* La santé et la concentration par l'hygiène de vie et les postures (hatha-yoga).

Les cours de yoga annoncés sur les babillards et dans les journaux concernent le plus souvent cette dernière dimension, le hatha-yoga. Son rôle, dans la voie spirituelle traditionnelle, est de discipliner l'esprit et de garder le corps dans un état de santé optimal afin que la personne puisse méditer mieux et plus longtemps. Les outils du hatha-yoga sont les exercices respiratoires (une pratique appelée pranayama) et plus de 1 000 postures (appelées asanas). Ces dernières portent souvent des noms évocateurs - l'arbre, la charrue, l'arc, le cobra, etc. - et leur niveau de difficulté est progressif. La célèbre posture du lotus (jambes croisées) qu'adoptent de nombreux méditants provient du yoga.

Les postures exigent des mouvements d'étirement, de flexion et de torsion qui favorisent la flexibilité de la colonne vertébrale, sollicitent les articulations, les nerfs et les muscles, et exercent une action sur tous les organes et les glandes. Le système digestif s'en trouve stimulé et la circulation sanguine, améliorée. De plus, maintenir une posture pendant un certain temps entraîne l'esprit à développer persévérance et concentration, et lui procure les bénéfices de la méditation.

Quant aux techniques respiratoires, elles demandent, par exemple, d'être particulièrement attentif à sa respiration, d'inspirer très lentement ou encore par à-coups, d'alterner de narine, de placer la langue de certaines manières, etc. Selon l'ayurveda (Médecine traditionnelle indienne), la vie d'un être humain ne se mesure pas en jours, mais en nombre de respirations... L'objectif ultime des techniques respiratoires est de développer et de contrôler le prana, la « force vitale ».

Le yoga affirme qu'un corps sain est absolument essentiel pour l'évolution mentale et spirituelle. Comme disent les yogis : « La santé, c'est la richesse. La paix mentale, c'est le bonheur. Le yoga montre le chemin. »
Les couleurs du yoga

Même si les postures classiques ont fait leurs preuves et demeurent les mêmes depuis des millénaires, le hatha-yoga continue d'évoluer et a pris différentes formes, surtout au cours du XXe siècle. Chacun des styles de yoga combine les postures, les exercices respiratoires et la méditation d'une façon plus ou moins énergique ou douce, animée ou calme. Voici les plus courants en Occident.

Ashtanga. Caractérisé par la synchronisation de la respiration avec des enchaînements rapides de postures de plus en plus exigeantes; cela élève considérablement le métabolisme et la température corporelle. Excellent pour l'endurance. Aux États-Unis, on en a conçu une forme particulièrement dynamique appelée Power Yoga.

Intégral. Conçu aux États-Unis dans les années 1960, il propose une intégration équilibrée des postures, de la respiration, de la méditation et de la relaxation. (Ne pas confondre avec l'approche spirituelle de Sri Aurobindo, appelée également yoga intégral.)

Iyengar. Cours disciplinés et rigoureux où l'on insiste sur l'alignement des membres et, surtout, de la colonne vertébrale; très orienté vers la santé. Aucune connotation spirituelle, mais l'aspect méditatif est présent.

Kripalu. Une danse du corps, de l'esprit et de l'énergie, avec une insistance sur les techniques respiratoires. Favoriserait particulièrement les systèmes cardiovasculaire, digestif et nerveux.

Kundalini. Vise avant tout à éveiller la kundalini, l'énergie originelle curative; l'approche travaille sur la conscience méditative à travers des enchaînements de postures.

Sivananda ou Vedanta. Les cours sont donnés par l'organisation Sivananda, dans ses propres centres; on y insiste sur la pensée positive, la méditation, la respiration, la relaxation et l'alimentation. Aspect spirituel très présent.

Viniyoga. Se caractérise par l'intégration du mouvement à la respiration, et par un enseignement personnalisé qui s'adapte à chaque individu.

Quant au yoga prénatal, il s'agit de cours orientés sur les besoins spécifiques des femmes enceintes. L'instructeur choisit alors certains exercices (posturaux et respiratoires) pour aider celles-ci à surmonter les difficultés liées à la grossesse, faciliter les étapes de l'accouchement et favoriser le retour à l'équilibre corporel après la naissance. Les instructeurs peuvent avoir pratiqué dans l'un ou l'autre des mouvements cités plus haut.

Mentionnons aussi le yoga tibétain qui se pratique à l'aide de ceintures ou sangles pour maintenir le corps dans certaines postures, et qui favoriserait particulièrement la relaxation.
Pour tous

Bien que le yoga se situe, à la base, dans une pratique spirituelle et que certaines écoles insistent particulièrement sur cet aspect, le hatha-yoga n'est pas une religion et peut être utilisé par n'importe quel individu, indépendamment de ses croyances, comme outil de santé et de guérison. Dans certains contextes, comme les cliniques de santé, les cours sont complètement dénués de références religieuses.

Aux Occidentaux qui affirment que les postures de yoga leur sont beaucoup plus difficiles qu'aux Orientaux, le maître Iyengar réplique toujours : « Existe-t-il un cancer britannique, un cancer italien et un cancer indien? Les souffrances humaines sont les mêmes, que l'on soit Indien ou Occidental. Les maladies sont communes à tous les êtres humains, et le yoga nous est donné pour guérir ces maladies. »
Applications thérapeutiques

Dans sa fiche sur le yoga, un site français de vulgarisation médicale écrit : « Le yoga n'est pas une thérapie au sens strict du terme. Il est néanmoins utilisé dans certaines affections touchant le système nerveux central et le système nerveux autonome (sympathique et parasympathique) comme la spasmophilie, l'anxiété, les troubles cardiovasculaires, les troubles du sommeil, etc. »1

Un recueil américain rédigé à l'intention des médecins, le Clinician's Complete Reference to Complementary & Alternative Medicine, a classé de la façon suivante les problèmes de santé pour lesquels le yoga serait indiqué2.

* Une thérapie idéale pour : maux de dos, constipation, hyperactivité, hypertension, insomnie et autres problèmes du sommeil, syndrome prémenstruel et douleurs menstruelles, problèmes respiratoires, arthrite rhumatoïde et stress.
* Une des bonnes thérapies pour : arthrite, asthme, grossesse et accouchement, syndrome de fatigue chronique, douleur chronique, colite et maladie de Crohn, conjonctivite, diabète, emphysème, endométriose, problèmes gastro-intestinaux, maux de tête, maladies cardiaques, hémorroïdes, impuissance, syndrome de l'intestin irritable, cancer du poumon, ménopause, santé mentale, sclérose en plaques, obésité et contrôle du poids, arthrose, ostéoporose, sinusite et apnée du sommeil.

Le Dr Andrew Weil, célèbre défenseur des approches psychocorporelles, recommande chaudement la pratique du yoga pour stimuler les mécanismes d'autoguérison. Il croit que le yoga peut aider dans les cas de syndrome de fatigue chronique, d'hypertension, de fibromyalgie, d'insomnie, de problèmes de mémoire, de sciatique et d'arthrite rhumatoïde3.
Recherches

Comme la pratique régulière et durable du yoga entraîne des changements de différents ordres et améliore, en général, la santé globale, il est difficile d'isoler clairement des bienfaits précis. Par ailleurs, le yoga s'insère mal dans les protocoles de recherche scientifique, parce qu'on peut difficilement obliger quelqu'un à faire du « faux yoga » (placebo) une heure par jour pendant deux ans... Voici tout de même les références les plus pertinentes.

Efficacité possible Contribuer au traitement de l'asthme. Bien que de nombreux rapports anecdotiques et quelques essais cliniques fassent état des bienfaits du yoga pour les personnes asthmatiques, l'ensemble des résultats ne permet pas de tirer une conclusion définitive quant à son utilité clinique en raison de diverses faiblesses dans les protocoles d'essais. L'innocuité du yoga semble par ailleurs bien établie, ce qui en fait une intéressante et peu coûteuse intervention thérapeutique non effractive. Le yoga pourrait contribuer à abaisser la consommation de médicaments chez les asthmatiques de tous âges tout en améliorant leur qualité de vie, tant sur le plan psychologique (bonne humeur, attitude positive, confiance en soi, etc.) que physiologique (détente musculaire, souplesse et force des articulations, santé cardiorespiratoire, etc.)4-17,61.

Efficacité possible Améliorer la mémoire et les facultés cognitives. Les résultats d'un essai ouvert (sans placebo et sans insu) mené auprès de 135 élèves indiens âgés de 10 ans à 17 ans indiquent que certaines techniques respiratoires issues du yoga pourraient contribuer à l'amélioration de la mémoire spatiale18. Dans un essai randomisé avec groupe témoin mené auprès de 20 adolescentes indiennes de 10 ans à 13 ans, on a démontré que la pratique du yoga améliorait les performances à une épreuve sur les fonctions cognitives19. Les résultats d'un essai ouvert (sans placebo ni insu) mené en Inde auprès de 135 enfants atteints de déficience mentale indiquent que la pratique du yoga pourrait améliorer significativement le quotient intellectuel (QI) de ces enfants et influer favorablement sur leurs capacités d'adaptation sociale20.

Efficacité possible Contrer les troubles cardiovasculaires. Des résultats d'essais cliniques ont démontré que la pratique du yoga pouvait modifier de manière positive certains paramètres physiologiques associés à des facteurs de risque en ce qui a trait aux maladies cardiovasculaires39-41,62. On a notamment démontré que la pratique régulière du yoga pouvait abaisser les taux de lipides nocifs pour le coeur et les vaisseaux sanguins et augmenter l'activité antioxydante de l'organisme. Dans d'autres essais, on a obtenu des résultats qui indiquent que les pratiques yogiques, souvent associées à d'autres modifications du mode de vie (cesser de fumer, s'alimenter adéquatement, etc.) permettaient d'abaisser significativement la tension artérielle chez les hypertensifs42-45. Les résultats d'essais menés auprès de sujets souffrant de maladies coronariennes indiquent que la pratique du yoga peut contribuer significativement à freiner l'apparition de la maladie46-48.

Efficacité incertaine Contribuer au traitement de la dépression légère. Les résultats d'essais menés chez des sujets normaux indiquent que la pratique du yoga tend à améliorer l'humeur des pratiquants et à rehausser leur sentiment de bien-être personnel21,22. Dans un essai ouvert sans placebo, mais comprenant un groupe témoin, mené auprès de 28 jeunes adultes souffrant de dépression légère, on a pu observer que la pratique du yoga était associée à une diminution significative des symptômes de dépression et d'anxiété23. Les résultats d'un essai comparant les effets des électrochocs, de l'imipramine (un antidépresseur tricyclique) et du yoga auprès de personnes en dépression indiquent que les trois approches sont efficaces, mais que le yoga l'est moins que les deux autres (respectivement 93 %, 73 % et 67 % de rémission)24.

Efficacité incertaine Contribuer au traitement des toxicomanies. Bien que le yoga soit couramment employé en Inde comme intervention de soutien dans les cures de désintoxication25, on a mené peu d'essais cliniques visant à démontrer son efficacité à cet égard. Dans un essai randomisé mené auprès de 61 toxicomanes traités à la méthadone (succédané synthétique de la morphine) et comparant les effets du yoga à ceux d'une psychothérapie de groupe classique comme technique de soutien, on a pu observer que les deux interventions étaient aussi efficaces l'une que l'autre26.

Efficacité incertaine Contribuer au traitement des troubles musculosquelettiques. Les résultats d'essais cliniques menés sur des sujets normaux et sur des patients souffrant de divers troubles musculosquelettiques49,50 indiquent que les techniques yogiques peuvent contribuer à améliorer plusieurs aspects de ces affections, notamment en ce qui a trait à l'arthrose des mains51, à l'arthrite rhumatoïde52, au syndrome du canal carpien53 et à la lombalgie chronique54,55.

Efficacité incertaine Améliorer la capacité cardiorespiratoire. Les résultats de plusieurs essais ont démontré que la pratique du yoga permettait d'améliorer, chez des sujets normaux, les fonctions respiratoires, notamment parce qu'elle favorise des inspirations et des expirations plus amples et parce qu'elle agit comme un modulateur des systèmes sympathique et parasympathique qui régissent l'activité cardiaque27-37. On manque cependant de données sur l'utilité clinique de ces actions physiologiques chez des sujets qui souffrent, par exemple, d'insuffisance cardiaque ou de maladies pulmonaires obstructives. Les résultats d'un essai préliminaire sans placebo ni groupe témoin mené auprès de 15 patients souffrant de bronchite chronique indiquent que la pratique du yoga peut améliorer certains paramètres des fonctions respiratoires chez les sujets souffrant de cette maladie pulmonaire obstructive38.

Efficacité incertaine Contrer le stress et l'anxiété. Les résultats d'un essai ouvert avec groupe témoin mené auprès de 50 étudiants en médecine ont indiqué que la pratique du yoga pouvait diminuer significativement l'anxiété en période d'examens et améliorer les résultats académiques des pratiquants en comparaison de ceux du groupe témoin56. Dans un essai avec groupe témoin mené auprès de 39 patients cancéreux, on a observé que certaines techniques de yoga tibétain pouvaient contribuer à enrayer les troubles du sommeil57. Les résultats d'un essai clinique sans groupe témoin portant sur huit sujets souffrant d'un trouble de la personnalité obsessif-compulsif ont démontré que la pratique du yoga pouvait diminuer significativement l'anxiété associée à cette affection58.

Efficacité incertaine Contribuer à prévenir la neuropathie diabétique. Les résultats d'un essai mené auprès de 40 sujets souffrant du diabète de type II indiquent que la pratique du yoga procure une protection significative contre le développement de la neuropathie associée à cette maladie59.

Efficacité incertaine Soulager les symptômes du syndrome de l'intestin irritable. Les résultats d'un essai comparatif mené auprès de 22 sujets souffrant du syndrome de l'intestin irritable avec prédominance de diarrhée indiquent que la pratique de certains exercices yogiques serait plus efficace pour soulager les symptômes de cette affection que le traitement classique à la lopéramide (antidiarrhéique de synthèse)60.

Efficacité incertaine Diminuer l'incidence des crises chez les épileptiques. On a mené un essai clinique randomisé avec placebo (séances de yoga simulées) et groupe témoin (sans traitement) auprès de 32 personnes épileptiques. Bien que les résultats de cet essai démontrent que les sujets qui ont pratiqué les véritables séances de yoga (le sahaya yoga, une version moderne du kundalini yoga créée en 1970) ont eu un nombre significativement moins élevé de crises que les patients des deux groupes témoins, le petit nombre de sujets dans chacun des trois groupes empêche de tirer des conclusions fermes quant à l'efficacité thérapeutique de cette intervention63,64.
Contre-indications

Le yoga prénatal n'est pas indiqué pour les femmes souffrant de diabète, d'hypertension ou qui ont déjà vécu une fausse couche. Les personnes souffrant de problèmes articulaires chroniques (hernie discale, sciatique, bursite, etc.) devraient à la fois en informer le professeur et obtenir l'assentiment de leur soignant.

Tu en fais toi du yoga Douceur?

ben comme je disais hier a cassandre je vais commencer

pour le moment je m'interesse à toutes les techniques de relaxation, ensiuite je vais acheter quelques livre et m'y mettre

mais j'en ai beosin c'est sur car je suis trés stresser, j'ai beosin d'etre plus sereine

Ça me tente pas mal aussi le Yoga… mais je trouve déjà une source
d'anti-stress dans la danse, et vu que j'ai un plan danse orientale en +…

Je vais me mettre aussi au yoga!!

L'année dernière j'avais commencé en prenant des cours mais en fait, je n'arrive pas à me dire à tel il faut que je sois là!!

Mais gràce à vos exercices je pense qu'on va y arriver!!

moi je vais voir si je peux trouver un endroit ou le faire,

et je vais faire aussi des seances de reiki, je suis pas mal informer à se sujet depuis quelque temp et je suis asser tenter


aller les filles c'est la rentrée

on bouge!!!

Eh moi aussi j'ai envie de m'y mettre, j'ai vu qu'il y avait des cours dans ma ville!Jsuis contente, mais bon voilà je vais encore y aller seule, pfiou si seulement je connaissais des gens que ça branche...
Tant pis, à mon retour de vacances je me lance!
Merci Douceur car c'est toi qui m'a donné l'envie!!

je suis contente de t'avoir donner envie,

moi je ne trouve toujours pas des cours de yoga

c'est fou ça quand même à Bruxelles!!!!

j'aimerai aussi en faire mais je vousdrais faire du sport comme du step aussi !!!!

bisous

oui tu as raison car le yoga ne muscle pas, ni raffermie

c'est bien de faire les deux,

j'ai mon stepper chez moi, mais il est dans dans un coin depuis les vacances, j'ai rien fait!!!

je vais m'y mettre

Douceur a écrit:

j'ai mon stepper chez moi, mais il est dans dans un coin depuis les vacances, j'ai rien fait!!!

(ah, oui, le truc qui prend la poussière sous le lit, faudra que je le revende…)

ressort le et fais du sport va!!!!!

Douceur a écrit:

ressort le et fais du sport va!!!!!

J'habite au 4e maintenant : j'ai plus vraiment besoin de step…

mdr!! on va faire des video conference de step!!!!! !!
prete!
bisous

oooooohhh la bonn excuse

Cassandre a écrit:

Douceur a écrit:

j'ai mon stepper chez moi, mais il est dans dans un coin depuis les vacances, j'ai rien fait!!!

(ah, oui, le truc qui prend la poussière sous le lit, faudra que je le revende…)

Ah ouais, le truc que je dis que je vais acheter depuis 1 an au moins ...

Ben achète le que si t'es vraiment motivée car chez moi aussi il prends la poussière!

maya134 a écrit:

Ben achète le que si t'es vraiment motivée car chez moi aussi il prends la poussière!

mdr quelle trahison ce truc !

le yoga c'est super, je me suis inscrite avec ma mère et franchement...les filles qui étaient là ( il y a un garçon c'est tout !!) sont gentilles, la prof a une voix vraiment relaxante et les exercices font un bien fou ( bien sur, c'est pas ça qui va me muscler mais bon..)
Moi la grande stressée de la vie déclare le yoga mon nouvel ami

stitch a écrit:

Moi la grande stressée de la vie déclare le yoga mon nouvel ami

Ça t'apporte quoi ? (moi aussi je suis une stress de la life alors…)

bah ça me détend beaucoup, j'evacue mes problèmes et j'arrive à ne plus y penser quand je sors de là, alors que d'hab, j'y pense tout le temps, ça m'obsède...enfin c'est que le début te dirais ce que ça m'apporte au bout d'un mois...

Moi je pars pleine de bonne résolution, le yoga (un peu cher, quand même mais bon faut voir....) et l'escalade.Le yoga est un bon complément pour l'escalade, il apprend une technique de respiration très utile pour la grimp (dixit mon homme).Pfiou ça va couter cher...j'espère qu'à mon boulot ils vont me garder en cdi!!!!!
Quant au stepper....moi c'est pas sous le lit, c'est sous la table de l'atelier avec une grande nappe dessus, pour bien l'oublier (je suis vilaine...)

grr vivement que je trouve des cours de yoga, en attendent je vais faire ça chez moi, ainsi que de la meditation

Et tu connais Douceur l'Institut d'Ashtanga Yoga à Bruxelles?J'ai juste regardé sur internet, sur google, tu l'as peut-être (et sûreemnt) déjà fait mais bon, on sait jamais...